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individuelles
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La pratique de la sophrologie est l'apprentissage d'un ensemble de méthodes et d'exercices visant l'acquisition d'un "mieux-être".
L'intérêt du suivi individuel réside dans la construction et l'application par le sophrologue d'exercices et de visualisations personnalisés.
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groupe
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Les séances en groupe, ou séances collectives, contrairement à celles individuelles, donnent des outils génériques utiles pour que chaque participant puisse évoluer vers un "mieux-être".
Chaque séance est porteuse d'une intention définie par le sophrologue.
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entreprises
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La sophrologie est aujourd'hui utilisée comme outil de développement professionnel, au sein de l'Entreprise.
J'interviens dans l'Entreprise dans le cadre de missions d'accompagnement des objectifs suivants :
- Evacuer les tensions
- Evacuer son stress.
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sport
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L'exercice de la sophrologie augmente les aptitudes du sportif autant par une meilleure perception de son corps que par une amélioration de ses capacités de concentration.
La sophrologie agit sur la motivation, la confiance en soi et aide à la gestion du stress.
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Articles et videos
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Vous trouverez ici, au fur et à mesure des mes publications, des conseils ainsi que des vidéos sur la sophrologie , les nouveautés et avancées en matière de sophrologie.
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Mon blog
blog sophrologie

Aller vers mieux sous-tend peut-être d'aller vers un autre style de vie.
Sur mon blog j'inscris les choses qui m'amusent, me surprennent, m'interpellent. Bonne lecture.
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Ici, vous êtes sur ma page "BLOG".
Pour aller à ma page "ACCUEIL" faite un clic sur l'onglet bleu "Accueil" en haut à gauche de cette page.
Pour voir la nouvelle version de mon site clic sur :
http://www.lozano-sophrologie.com






MIEUX ÊTRE

Aller vers mieux sous-tend peut-être aller vers un autre style de vie. La sophrologie peut-elle aider cet objectif ?

Ce nouveau style de vie ne toucherait pas seulement notre alimentation et la gestion du stress engendré par notre existence.
Il s'étendrait également à notre façon de vivre intérieurement, notamment à ce qui a trait au respect de nos élans créateurs et de nos idéaux. Il n'y a pas de formule magique. Une technique isolée ne peut être d'une grande aide.

Par contre, accepter de remettre en question notre style de vie et changer peut faire la différence notamment devant la maladie. (G.Corneau)

Dans les lignes qui suivent vous trouverez des impressions.
j'y inscris les choses qui m'amusent, me surprennent, m'interpellent. Bonne lecture.
Vous pouvez aller visiter mon blog
Vous y trouverez les mêmes textes. Aller à mon blog
Vous pouvez aussi lire directement ces textes sur la présente page.


- 16 mars 2015 -

De part mon métier je rencontre souvent des personnes à la croisée des chemins.
Ces personnes reconnaîtront peut être leur vécu dans la poésie qui suit. J'ai été particulièrement ému par cette poésie que je vous livre dans les lignes qui suivent.
La chance a voulu que je puisse être contacté par son auteur, qui m'a autorisé à le publier sur mon blog.
Sa plume est particulièrement subtile. Il s'agit d' Isabelle FLUCKIGER.
Son site : http://www.creat-heures.fr
Une mine de sensibilité, douceur et une vibration rare.
Je lui rends hommage en publiant son poème et inscrivant un lien sur mon propre site, ce que je fais rarement :

QUAND UNE PORTE SE FERME (2009)

Quand une porte se ferme, il faut savoir accepter
Que ce qui s'y passait de l'autre côté,
Dans cette vie, ne nous était pas destiné.
Retournons sur le chemin avec espoir et dignité.

Il y a des portes qui s'entrouvent et vous claquent au nez
Dans un soupir de lassitude, une lente envie de pleurer
Vous monte jusque dans les yeux, tout devient flou
La solitude vous pèse, on cherche du secours un peu partout.

Quand une porte se ferme, il ne faut pas chercher à comprendre
Passer trop de temps à vouloir à tout prix attendre
Qu'elle s'ouvre sur un coup de baguette magique
Des heures à se lamenter, comédie pathétique.

Il y a des portes qui grincent et on avance d'un pas soucieux
A se demander si on ne devrait pas mieux
Tout de suite revenir en arrière, parfois l'instinct
En une fraction de seconde, vous prend par la main.

Quand une porte se ferme, que ce soit en amour ou professionnellement
Il est bon aussi, de pouvoir s'asseoir, et réfléchir un moment
En se disant que la vie donne et reprend pour nous faire avancer
L'homme depuis tout petit est programmé pour évoluer.

Il y a des portes qui s'ouvent toutes seules d'un coup
Sans avoir eu besoin de prendre un seul rendez vous
Le hasard, le destin diront certains, peu importe c'est le premier pas
qui coûte pour franchir le seuil, vous le savez déjà.

Car quand une porte se ferme, il vaut mieux accepter
Et se dire que cette époque est périmée
Que la vie qui nous convient se trouve dans d'autres lieux
Un avenir incertain mais sous un ciel radieux.

Refermons les portes et laissons le passé derrière celles-ci
Rien n'est plus éprouvant que de faire le ménage dans des pièces jaunies
Où seuls les douloureux souvenirs viennent barricader
Les portes du bonheur qui ne demandent qu'à vous laisser passer.

Isabelle FLUCKIGER
http://www.creat-heures.fr


- 20 février 2015 -

Pour moi, le noir est une couleur comme les autres.
Les moments noirs, des moments comme les autres.

Un réveil à 4 heures du matin, une insomnie de plus et quelques écrits.
N'y voyez aucune tristesse.
Juste un éclair de lucidité :

ET PUIS UN JOUR TU MEURS
Tu es arrivé là.
Sans rien demander.
Tu étais là, c'est tout.
Tu ne te demandais pas pourquoi ?
On ne te le demandait pas, non plus.
Tu étais là.

Et puis tu t'es rempli de repères, de convictions.
Et puis tu as grandi, mûri, vieilli.
Et tu n'as rien vu passer.
Comme un gâteau trop vite mangé.
Et puis un jour ... non ! tu n'y es pas encore.
Mais ce gâteau te reste sur l'estomac.

Ta vie, qu'en as tu fait ?
Et celle de ceux qui croyaient en toi ?
Les larmes te viennent aux yeux.

Certains ont quitté la Terre.
Tu les as à peine vus.
Et il y a ceux qui restent.
Tu ne sais même plus leur dire que tu les aimes.
Tu as perdu l'usage des mots.
Il te reste si peu de temps pour les leur dire.

Et puis un jour tu meurs.
Un jour comme les autres.
Marcel LOZANO 22-02-2015


- 12 mars 2015 -

Ce matin il me revient une phrase :
Si tu veux connaître ta vraie dimension, un soir sans lumière, sors de chez toi et lève les yeux au ciel.











- 19 janvier 2014 -

La terre a un air bien tristounet sous la brume.
Ce matin, quelques rayons de soleil perçants m'ont décidé à me transformer en homme-oiseau, l'une de mes 2 passions.
Le flux de vent est doux; contrairement à hier. Hier il était trop fort, me clouant au sol malgré un beau ciel.
Eh oui! les contraintes de l'aérologie.
Alors je m'envole. Un petit tour autour de mon village. Comme les gens paraissent petits vus de haut.
Est-ce à leur taille que je fais allusions, ou bien à leurs milliers de malheurs qui sont restés au sol, avec eux et qui les accompagnent où qu'ils aillent, comme leur ombre.
Comme tout cela ma paraît futile, illusoire, triste.
Oui, toutes ces souffrances prennent une autre dimension quand on prend un peu de distance.
Cela me rappelle que mon métier de sophrologue est précisément d'apprendre à ceux qui souffrent, à prendre de la distance, à relativiser tout ce qui leur arrive, à leur donner leur vraie dimension étroite et aliénante.

Entre-temps la brume s'est épaissie.
Je pensais qu'elle disparaîtrait.
Mais, au contraire, cette brume d'hiver-automnale est entêtante.
J'essaie de prendre de la hauteur pour passer au dessus et voir enfin un soleil radieux.
Rien n'y fait. Plus je prends de l'altitude, plus elle s'épaissit.
ATTENTION DANGER, Marcel.
A voler sans visibilité on risque sa vie.
Je peux, à tout moment, croiser un avion, qui lui vole aux instruments et n'a donc pas besoin de visibilité.
Sauf que pour un avion, ma voile en chiffon n'est pas repérable; et j'aurai tôt fait de me transformer en colis indésirable, accroché à l'une de ses ailes.
J'arrête donc mon ascension pour me rapprocher du plancher des vaches.
Plus près du sol, tout est gris, triste. Mais tant pis.

Un atterrissage musclé et je goûte un instant le plaisir du retour sur la planète, additionné à celui de mon corps rempli d'adrénaline.






- 30 décembre 2013 -

Un rayon de soleil, c'est un cadeau du ciel.
Ca ne va pas durer; alors il faut en profiter.
Un petit coup d'oeil à la météo et hop, mon matériel est prêt.

Ma voile me dit qu'elle veut voler. Elle frémit aux caresses du vent.
Un rayon de soleil dès le petit matin; ça fait des merveilles, comme font tous les magiciens.

Et c'est vrai que s'envoler, tient encore de la magie. Le nombre d'envols n'y fait rien. Depuis 1973 et mon premier saut-vole en parachute je ne cesse d'aimer cette sensation qui prend au corps à chaque envol.
Ceux qui n'ont pas tenté, ne peuvent imaginer.
S'envoler, ce n'est pas simplement voler. C'est bien plus que ça.
C'est approcher un peu la folie.
C'est s'en aller dans le domaine des dieux, mais savoir qu'il y a des chances pour qu'on en revienne.
Le rayon de soleil de ce matin a fait, une fois de plus, chanter ma vie.
Je pensais que là haut le vent serait fort. Eh non, juste assez pour que je puisse encore avancer. Très rapidement je me suis hissé à 200mètres. Il n'en fallait pas plus pour s'écarter de la petite brume qui restait au sol.
Au dessus de cette brume, un soleil radieux. Rien à faire, un rayon de soleil, c'est vraiment une symphonie qui met des ombrelles à la place des parapluie.

Allez, vous en prendrez bien encore une petite coupe. Le bonheur c'est tout simplement chercher à être heureux.

Tous comptes fait, avec mon parapente, je suis un peu voleur. Je suis un voleur de bonheur. J'essaie de le distribuer aux hommes, mais c'est surprenant, ils ont le regard ailleurs.
Les Dieux m'avaient prévenu, telle la Pythie de Delphe, quand je parlerai de bonheur, je ne serai pas cru.

Je vous souhaite autant de bonheur pour l'année 2014 qu'il y a de gouttes d'eau dans l'océan.






- 19 septembre 2013 -

Merci beaucoup pour ces commentaires agréables.
Ainsi je sais me positionner par rapport à votre attente.

Et m'éloigne de la pensée définie par la légende du cavalier qui cherche son cheval.

Vous ne la connaissez pas ?

Alors je vous la conte :
Il était une fois au Moyen-Orient, un cavalier qui allait de village en village, en pleine nuit, à bride abattue.
Il réveillait les habitants de chaque bourg pour leur demander d'un ton anxieux : "avez vous vu mon cheval ?" .
Personne n'osait lui répondre qu'il était assis dessus tellement cela semblait évident. Il était en fait, le seul à ne pas s'en apercevoir.

Cette anecdote, tirée du répertoire de la sagesse soufie, illustre la course de l'homme lancé à fond de train dans la quête de l'amour, de lui-même et du sens de la vie.

J'ai été à l'image de ce cavalier pendant la majeure partie de ma vie, et je lui ressemble encore la plupart du temps.
Cependant, par la grâce de certains événements qui m'ont forcé à stopper ma course, j'ai pu sortir de ma torpeur et trouver réponse à certaines des questions qui me tourmentent depuis mon enfance.
Autrement dit, comme Guy Corneau, que je cite souvent, j'ai eu la bonne fortune d'entrevoir mon cheval à quelques reprises.






- 09 septembre 2013 -

Au lieu de continuer à parcourir le pénible chemin des embûches qui au cours de notre vie nous ont empêché d'être nous même, peut être pouvons nous prendre contact avec la partie vivante de notre personne.

Nous pouvons la faire exister quelques temps et au bout du parcours, voir si le jeu en valait la chandelle.

Commentaires sur la séance de mardi 09 septembre 2013.





















- 03 septembre 2013 -

Séance du 3 septembre 2013. Beaucoup ont lâché prise. Peu en avaient conscience. Le déni passait par là.

" Ainsi, une psychologie qui n'a pas d'horizon spirituel devient facilement nombriliste.
Alors qu'une spiritualité qui n'engage pas un travail sur soi au niveau psychologique assied ses pratiquants sur un volcan d'émotions non maîtrisées.
Sans le savoir, elle encourage le refoulement " (G.Corneau).





















- 27 août 2013 -

Séance de mardi 28 août 2013.

"L'aspect psychologique correspond à la biologie d'un individu. Il se réfère à ce qui s'est passé dans sa vie sur le plan émotionnel.
Il est en effet nécessaire de comprendre comment une affection peut affecter la santé du corps.
Il y a des conditions intérieures associées aux états affectifs et aux blessures du passé ..... Elles peuvent même l'appeler sans que la personne en ait conscience" (Guy Corneau).

Chacun nous nous puise et trouve en chaque séance, ce qu'il cherche.

Quelques commentaires de cette séance.





















- 07 septembre 2013 -

J'ai une préférence pour les livres de Guy Corneau, psychanalyste diplômé de l'Institut Carl Gustav Jung de Zurich.

Ses écrits me parlent beaucoup et j'aime les métaphores ou les citations qui égrainent ses pages, notamment quand il écrit qu'il craint, comme la femme de Loth d'être transformé en statue de sel pour avoir regardé en arrière (Guy Corneau - "Revivre" page 11).

J'aime cette image de statue de sel, à la foi d'apparence si solide et qui disparaîtrait à la moindre pluie.

Vous trouverez souvent dans mes articles, des références à cet auteur que j'apprécie particulièrement; ce qui du coup me rapproche de beaucoup de monde, plusieurs de ses livres ayant été des best-sellers traduits en plusieurs langues






- 26 mai 2013 -

Aujourd'hui c'est la fête des mères.

Bonne fête ma petite maman.
Nous n'avons jamais vraiment parlé toi et moi.
Quand je cherchais à m'approcher de toi; tu te réfugiais dans la routine, gênée.
Quand tu me caressais la nuque, je regardais ailleurs, gêné.
Ni toi ni moi n'avions appris ce qu'être heureux ensemble voulait dire.
Je t'adresse ce message sur ce support car je sais qu'en un instant il aura fait le tour de la terre, temporelle et intemporelle et te trouvera où que tu sois.
Mais, suis-je sot; tu es dans mon esprit, dans mon corps dans le sang qui coule dans mes veines.
Et tant que tu y restera c'est à dire jusqu'à mon dernier souffle, ta vie demeurera.
Seule ton enveloppe est partie vers un autre monde. Ton esprit est bien ancré en moi.
Où que tu sois, reçois ces mots, ces pensées.
Sois heureuse, enfin.
Marcel 26 mai 2013






- 16 juin 2013 -

Papa.
Ce matin j'ai pensé à toi.
Pas plus, pas moins qu'un autre jour. Chaque jour je pense à toi.
Je porte ton nom, ton prénom, ton caractère, ton sang et tes joies passagères.
Mais, comme aujourd'hui tout le monde parle de toi, mon papa .... Alors c'est un jour pas comme les autres.
Mais au fait; qui est ce "tout-le-monde" dont tout le monde parle.
Il doit être important vu que la plupart du temps, tout le monde fait comme "tout-le-monde".
Et toi, mon papa, que fais tu aujourd'hui; dans l'Autre monde ?
C'est amusant cette idée qui nous fait atteindre les limites de notre entendement.
On souhaite tellement que la vie continue, ou en tout cas, une autre vie après la vie...
Pas facile d'imaginer que la pensée, notre pensée, puisse un jour, être diluée dans l'univers, dans le TOUT.
Alors, cette pensée, cette étincelle, on l'appelle l'âme; pour lui redonner une nouvelle enveloppe, incorporelle et intemporelle, celle-là.

Papa, où est ton âme ?
Tu me manques, mon papa.






- 01 mai 2013 -

Ma fille Emilie (nom de scène : Leeloo) et mon gendre Florian dans la revue "Comment ça marche" n°35.
Ils ont fait l'objet d'une chronique parlant de leur groupe VIOLET BIRD. Leur site http://www.myspace.com/violetbird.

J'ai beau avoir l'habitude de garder la tête froide; c'est agréable de lire ce qui y est écrit. Fierté de père : oui !




































- 01 mai 2013 -

Mon fils n'est pas en reste.
Lui a décidé de se marier.

Bon, les chiens ne font pas des chats.
L'idée est originale. Sa mise en pratique l'a été encore plus. Les mariés étaient charmants dans leur habits. La mariée était jolie. Et nous avons appris qu'ils se mariaient 10 minutes avant d'aller à la Mairie.

Leur site : http://lozano.creation.free.fr/mariage.html
Mariage heureux = parents heureux.
Le reste n'est que littérature.






- 14 avril 2013 -

Plusieurs mois que je n'avais pas touché ma voile.
L'hiver a été long.
Je décide d'aller tâter les nuages.
Un peu tendu, comme à chaque début de saison, j'avais l'impression de n'avoir pas volé depuis des années.
Mais ce truc c'est comme le vélo, enfin presque.
Aujourd'hui, ma voile avait autant envie de voler que moi.
Docile elle s'est tout de suite placée au dessus de ma tête.
Un filet de gaz moteur et hop ! JE VOLE !!!!!
Du plaisir, du bonheur, Du plaisir, du bonheur, Du plaisir, du bonheur !
Plus aucun mal de dos.
Plus aucun mal de ventre qui trainait depuis plusieurs jours.
Plus aucune fatigue.
La dopamine naturelle marche à fond.
Dans mes veines 57 ans.
Dans ma tête 20 ans.
Le bonheur c'est grisant.
















En vol la caresse du vent était comme celle de mon aimée; douce. Et l'atterrissage comme sur une fleur. Que du bonheur.











Indescriptible pour qui n'a pas connu.
















- 13 avril 2013 -

J'ai longtemps été interpellé sur la question du rapport entre la méditation, le regroupement de personnes et l'énergie développée.
Un jour ou plutôt une nuit de Noël, mon fils, âgé alors de 7 ans, a eu la bonne idée de marcher sur une aiguille qu'il avait caché dans la moquette de notre salon pour piéger des éventuels ennemis.
Piégeur-piégé.
On aurait ri s'il ne s'était pas enfoncé cette aiguille profondément dans le talon. L'aiguille s'était brisée et s'était introduite dans une veine.
Passage par 2 hôpitaux le jour de Noël. Un cauchemar. Dans le premier hôpital il n'y avait qu'un interne et les appareils ne fonctionnaient pas.
Après plusieurs coups de scalpel l'interne, visiblement dépassé, me dit qu'il ne trouve pas l'aiguille.
Ca je l'avais remarqué car je faisais office d'infirmière et tenais mon fils.
Je lui réponds "on ne touche plus à rien".
Je pars,
il me répond : "il me faut une décharge".
Je ne l'écoute plus, prends mon fils dans mes bras et pars.
Arrivé au 2è hôpital je demande immédiatement s'ils ont des appareils en état pour faire une radio. Réponse: oui. 20mn après, l'aiguille était retirée du pied de mon fils.

J'étais tout de même un peu choqué et désemparé. Et comme toujours quand on est désemparé on cherche plus fort que soi. Plus fort que l'humanité.
Il était minuit, je décide d'aller à la cathédrale Saint Etienne à METZ pour assister à la messe de minuit, ce que je ne fais jamais.
Là, je vois tout ce monde, tous ces êtres réunis, au même moment, au même endroit, l'esprit orienté vers une communion collective.
J'avoue avoir reçu une bouffée d'émotions; et ce que j'ai ressenti m'a interpellé.
Comment la réunion de toutes ces personnes, silencieuses, côte-à-côte, peut elle dégager une telle harmonie; une telle force ?
D'où vient cet élan ? Qui reçoit ? qui donne ?
Au bout d'un moment je me suis demandé si tous ces questionnements et sensations n'étaient pas juste le fruit de mon esprit fatigué et choqué par ce que je venais de vivre, et peut être aussi, d'une douce illusion.
Ne sachant quoi penser, je suis reparti comme je suis venu, en silence, mon fils en pyjama, dans mes bras.

Marcel Lozano






Je suis Marcel LOZANO, sophrologue-relaxologue, 105 Avenue André Malraux. 57000 METZ.





















J'ai créé ce blog pour y inscrire les choses qui m'amusent, me surprennent, m'interpellent.